Rugby – Top 14 : Sekou Macalou (Stade Français) forfait contre Bayonne
Le troisième-ligne international du Stade Français, Sekou Macalou, devra attendre avant de faire son retour en Championnat. Macalou avait joué onze minutes en tant que remplaçant lors du quart de finale de la Coupe du monde contre l’Afrique du Sud le 15 octobre dernier, un match que son équipe a perdu de justesse (28-29). Il était prévu qu’il joue dimanche après-midi contre Bayonne à Jean-Dauger, mais un incident à l’entraînement a modifié ces plans.
Au cours de la semaine, Macalou a subi une blessure à l’entraînement. Cette blessure inattendue a contraint le joueur à se retirer du match prévu. Bien que la nature précise de la blessure n’ait pas été divulguée, l’entraîneur en chef par intérim, Paul Gustard, a mentionné lors d’une conférence de presse vendredi qu’il s’agissait d’une « blessure musculaire contractée à la suite d’un choc ».
Paul Gustard, qui assurera l’intérim pour le duo Labit-Ghezal jusqu’au match contre Castres lors de la 5e journée, a exprimé sa déception face à cette situation inattendue. Cependant, il a également souligné l’importance de ne prendre aucun risque avec la santé de ses joueurs. Le staff du Stade Français a décidé de ne pas risquer une aggravation de la blessure de Macalou.
Selon les prévisions, Macalou devrait être opérationnel une semaine plus tard pour la réception du Castres Olympique. Cette nouvelle a été accueillie avec enthousiasme par les membres de son équipe, qui sont impatients de le voir revenir sur le terrain. Le report de son retour a été perçu comme une mesure nécessaire pour assurer son rétablissement complet.
Parmi les membres de l’équipe qui ont exprimé leur soutien à Macalou figure le deuxième-ligne Pierre-Henri Azagoh. Il a déclaré : « Il est affûté, on voit que la prépa a bien marché. On a hâte qu’il reprenne avec nous le plus tôt possible ». Ces mots témoignent de l’anticipation et de l’enthousiasme de l’équipe à l’idée de voir Macalou retrouver sa forme et reprendre son rôle sur le terrain.
